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Les vaccins sont tous conçus pour apprendre au système immunitaire à reconnaître et à bloquer en toute sécurité le virus à l’origine de la COVID 19.

Différents types de vaccins potentiels contre la COVID 19 ont été mis au point, c’est le cas du vaccin Moderna.

Il convient de se faire vacciner pour ne pas contracter les formes graves de la maladie et de suivre les conseilles de l’agent de santé afin de revenir obligatoirement selon le date prescrite par l’agent de santé pour prendre la dose de rappel.

Notifions que le schéma à deux doses de ce vaccin est considéré comme plus protecteur contre les formes graves du COVID-19 qu’une seule dose. Pour appuis d’information, le Groupe stratégique consultatif de l’OMS (SAGE) recommande de proposer aux personnes gravement immunodéprimées une dose supplémentaire de vaccin de plus.

L’efficacité réelle du vaccin chez les femmes qui allaitent est probablement semblable à son efficacité réelle chez les autres adultes. L’OMS recommande l’utilisation du vaccin chez les femmes qui allaitent comme chez les autres adultes. Elle ne recommande pas d’interrompre l’allaitement en raison de la vaccination.

Des vaccins ont été mis au point contre la COVID 19.

Ces vaccins sont tous conçus pour apprendre au système immunitaire à reconnaître et à bloquer en toute sécurité le virus à l’origine de la COVID 19. C’est le cas du vaccin Janssen.

Il convient de se faire vacciner pour ne pas contracter les formes graves de la maladie et de suivre les conseilles de l’agent de santé afin de revenir obligatoirement selon le date prescrite par l’agent de santé pour prendre la dose de rappel.

Notifions que le schéma à deux doses de ce vaccin est considéré comme plus protecteur contre les formes graves du COVID-19 qu’une seule dose.

Pour appuis, le Groupe stratégique consultatif de l’OMS (SAGE) recommande de proposer aux personnes gravement immunodéprimées une dose supplémentaire de vaccin de plus.

L’efficacité réelle du vaccin chez les femmes qui allaitent est probablement semblable à son efficacité réelle chez les autres adultes. L’OMS recommande l’utilisation du vaccin chez les femmes qui allaitent comme chez les autres adultes. Elle ne recommande pas d’interrompre l’allaitement en raison de la vaccination.

Des scientifiques de certains pays dans le monde ont mis au point des vaccins contre la COVID 19.

Ces vaccins sont tous conçus pour apprendre au système immunitaire à reconnaître et à bloquer en toute sécurité le virus à l’origine de la COVID 19.

C’est le cas du vaccin AstraZeneca.

Il convient de se faire vacciner pour ne pas contracter les formes graves de la maladie et de suivre les conseilles de l’agent de santé afin de revenir obligatoirement selon le date prescrite par l’agent de santé pour prendre la dose de rappel.

Notifions que le schéma à deux doses de ce vaccin est considéré comme plus protecteur contre les formes graves du COVID-19 qu’une seule dose. Pour appuis d’information, le Groupe stratégique consultatif de l’OMS (SAGE) recommande de proposer aux personnes gravement immunodéprimées une dose supplémentaire de vaccin de plus.

L’efficacité réelle du vaccin chez les femmes qui allaitent est probablement semblable à son efficacité réelle chez les autres adultes. L’OMS recommande l’utilisation du vaccin chez les femmes qui allaitent comme chez les autres adultes. Elle ne recommande pas d’interrompre l’allaitement en raison de la vaccination.

Au titre du protocole d’autorisation d’utilisation en situation d’urgence (Protocole EUL), plusieurs vaccins contre la COVID‑19 ont été homologués par l’OMS.

Ceci afin de déterminer si l’utilisation d’un produit peut être recommandée en fonction de toutes les données disponibles sur son innocuité, son efficacité et sur son adéquation dans les pays à revenu faible ou intermédiaire.

D’où la fabrication des différents vaccins contre la COVID-19, comme le vaccin Pfizer/BioNTech Comirnaty. Il a une bonne efficacité et innocuité contre la COVID-19 et est injectable aux personnes à partir de 12ans.

D’après l’OMS, toutes personnes dotées de maladies pathogènes comme l’hypertension, le diabète, l’asthme, les maladies pulmonaires, hépatiques ou rénales, ainsi que les infections chroniques stables ou sous contrôle peuvent recevoir le vaccin pfizer tout en respectant la dose de rappel afin d’éviter définitivement les formes graves de la maladie du COVID-19.

Il convient de se faire vacciner pour ne pas contracter les formes graves de la maladie et de suivre les conseilles de l’agent de santé afin de revenir obligatoirement selon le date prescrite par l’agent de santé pour prendre la dose de rappel.

Notifions que le schéma à deux doses de ce vaccin est considéré comme plus protecteur contre les formes graves du COVID-19 qu’une seule dose.

Les vaccins sont évalués pour que l’on s’assure de leur conformité aux normes requises de qualité, d’innocuité et d’efficacité à partir des résultats d’essais cliniques et en fonction des processus de fabrication et de contrôle de leur qualité.

Conformément à leur réglementation et à leur législation nationales, les pays sont libres de délivrer des autorisations pour l’utilisation d’un produit de santé en situation d’urgence.

Au Bénin, le plan national de vaccination est lancé depuis le 29 Mars 2021 via le programme COVAX.

Le pays a bénéficié de livraison successives depuis mars 2021 de doses de vaccins AstraZeneca, Janssen (fabriqué par Johnson et Johnson), Pfizer et Mordena.

Conscient qu’en plus des mesures barrières, le vaccin reste et demeure le moyen le plus sur et efficace pour freiner la propagation du virus de la COVID-19, le gouvernement du Bénin, dans le souci permanent de protéger les populations contre les effets dévastateurs du COVID-19 a tôt développé une politique relative à son adhésion aux mécanismes de soutien au déploiement de la vaccination tel que le mécanisme COVAX. 

En effet, ce mécanisme est un système mis en place pour assurer un accès équitable aux vaccins dans le monde et qui vise à soutenir les efforts des gouvernements des pays et assurer un accès juste et équitable à la vaccination contre la COVID-19.

Conformément aux réglementations et aux législations nationales, les pays membres de l’OMS sont libres de délivrer des autorisations pour l’utilisation d’un produit de santé (vaccin) en situation d’urgence (COVID-19).

C’est dans cette logique que les vaccins suivants ont reçu l’autorisation d’utilisation en situation d’urgence :

  • Vaccin Pfizer
  • Vaccins AstraZeneca
  • Vaccins Janssen mis au point par Johnson et Johnson
  • Vaccin de Moderna
  • Vaccin Sinovac-CoronaVac.

Le Bénin, quant à lui, a obtenu successivement ses premières doses de vaccin contre la COVID-19 les 10 et 29 Mars 2021 via le programme COVAX.

Par conséquent les différents vaccins à usage au Bénin se présentent comme suit :

  • Vaccin AstraZeneca le 16 février 2021, sous la licence de l’Inde. La posologie recommandée est d’une dose administrée renouvelable sur rendez-vous de l’agent de santé.
  • Vaccin Mordena le 30 avril 2021, comme tous les autres vaccins, il nécessite aussi une seconde dose d’administration afin de renforcer davantage l’immunité de l’organisme du patient.
  • Vaccin Janssen le 12 Mars 2021 est mise au point par  Johnson & Johnson, sous la licence des États-Unis et il est administré en dose renouvelable une fois sur rendez vous de l’agent de santé. 
  • Vaccin Pfizer le 31 décembre 2020, est un vaccin à une efficacité de 95 % contre l’infection symptomatique par le SARS-CoV-2.  Il nécessite éventuellement une injection de rappel et le moment propice pour l’administrer dépend du rendez-vous de l’agent de santé.
  • Vaccin Sinovac-CoronaVac, le 1er juin 2021. C’est un vaccin efficace qui necessite plusieurs doses. L’OMS recommande un intervalle de 2 à 4 semaines entre la première et la deuxième dose.

Notifions qu’au Bénin, c’est le vaccin Pfizer qui est le seul recommandé à être administré aux enfants à partir de 12ans.

Contrairement à l’entame de la pandémie au Bénin, où il faut respecter scrupuleusement et obligatoirement les gestes et mesures barrières, les cas de contamination de part et d’autres ont actuellement baissé, ainsi que les cas de mort et les cas graves. Vu cette réduction considérable du nombre de personne contaminé dans notre pays, il a paru opportun de remettre sur tapis les différentes activités du pays sans les quelles le pays prend un coup dans son évolution et son développement. Au regard de tout ceci, le gouvernement du Bénin a donc relancer les activités économiques, culturelles et sociales du pays, lors du conseil des ministres tenu le mercredi 16 Mars 2022, par une restriction des meures de prévention et de protection mise en place pour lutter contre la pandémie de la COVID-19. A cet effet, vu que la pandémie continue d’être sujet d’actualité et continue de faire ravage, certaines mesures préventives ont été levées d’un coté et d’autres sont restées maintenues.

D’une part, les mesures préventives maintenues par le gouvernement et devant être fortement respecter par tous se présentent comme suit :

  • le port obligatoire des masques et le lavage systématique des mains à l’eau et au savon, ou désinfection par du gel ou de la solution hydro alcoolique, aussi bien dans les lieux de travail, dans les lieux publics que privés ;
  • la vaccination à toute personne éligible, y compris les élèves de plus de 12 ans. S’agissant spécifiquement des voyageurs, l’entrée sur le territoire béninois, par voie terrestre, aérienne et maritime n’est possible que par la présentation d’un test PCR négatif datant de 5 jours au plus ou d’un TDR antigénique négatif de 72h au plus. Contrairement aux béninois qui voyage à l’extérieur, ils ont l’obligation de ce conformer aux règles du pays de destination.

D’autre part, les mesures préventives levées par le gouvernement se présentent comme suit :

  • la fermeture des discothèques et assimilés ;
  • l’interdiction de regroupements festifs dans les lieux publics et de rassemblements de plus de 50 personnes, y compris les plages;
  • l’obligation du respect de la distance de sécurité sanitaire entre passagers à bord des transports en commun ;
  • la suspension des évènements et manifestations à caractère culturel, festif, sportif et religieux ;
  • la limitation à 50 du nombre de personnes autorisées à prendre part aux cérémonies d’inhumation ;
  • la suspension de la participation de toute personne de l’administration publique et du secteur privé non vaccinée contre la COVID-19 à des rencontres (réunions, ateliers, forums, séminaires, …etc.) sur le territoire national ;
  • l’accès à tous les services publics assujetti à la présentation d’un Pass vaccinal aux personnes éligibles à la vaccination ;
  • l’obtention des bulletins de prise en charge sous la condition de la présentation du Pass vaccinal.

De tout ce qui précède, il est souhaitable que les efforts en vue d’atteindre les objectifs de la couverture vaccinale sur le territoire national soient maintenus.

Les Organisations de jeunes et les médias influents dans l’environnement web du Bénin, ont participé du 17 au 18 mars 2022, à l’Espace O de fidjrossè, à un atelier de co-création pour l’élaboration de contenus relatifs à la vaccination contre la #COVID19 au Bénin.

L’atelier a été d’une part un cadre de recensement des rumeurs les plus récurrentes qui influence l’acceptation de la vaccination contre la COVID-19 par les internautes béninois et d’autre part, un tremplin pour l’élaboration de contenus de qualité en réponse à ces rumeurs selon le contexte béninois. 

Ces différents contenus, proposés par les participants grâce aux groupes constitués, aboutiront à la production et à la diffusion de visuels et vidéos sur la vaccination contre la COVID-19, sur les canaux digitaux. 

Ceci dans le but de toucher le maximum de béninois et les amener à prendre conscience de l’enjeu capital de la vaccination. 
Pendant les deux jours de l’atelier, les participants ont aussi eu droit à des communications.

Une communication sur la gestion des rumeurs, animée par Awanabi Idrissou, Chargée de la communication digitale à UNICEF Bénin. Une autre communication sur le rôle des jeunes dans la campagne intensive de vaccination contre la COVID-19 au Benin, animée par Gélase Sodokin, spécialiste en santé communautaire.

Tout ceci s’est déroulé dans une ambiance conviviale et instructive appréciée de tous.
Les partages d’expériences sur la vaccination contre la COVID-19 a également été au cœur des interventions.

On peut maintenant dire qu’à l’issue de cet atelier, les jeunes sont bien outillés et sont enfin prêts, plusque jamais pour conribuer à la réussite de la campagne intensive de vaccination contre au Benin.

L’humanité se trouve aujourd’hui confronté à une pandémie causée par le virus de la COVID-19. A l’heure actuelle, la COVID-19 continue son avancer à travers le monde.

Il est essentiel que nos communautés prennent des mesures visant à éviter la transmission du virus et à réduire les impacts de la pandémie, et qu’elles soutiennent aussi les mesures de lutte contre celle-ci.

Au Bénin malgré les efforts salutaires du gouvernement, dans sa lutte contre la COVID-19, force est de constaté que celle-ci continue d’être un cauchemar pour le peuple béninois.

Alors en tant que béninois, les jeunes ont compris que seule solution pour vaincre cette pandémie au Bénin, est l’engagement collectif. Ainsi de diverses associations de jeunes ont pris l’initiative de contribuer à la lutte contre cette pandémie.

D’où leur participation à la communication sur : le rôle des jeunes dans la réussite de la campagne intensive de vaccination contre la COVID-19.

Cette rencontre qui a eu lieu le 17 mars 2022, à l’Espace O de fidjrossè est un moment crucial pour Madame Gélase Sodokin, la communicatrice, de rappeler aux jeunes leur importance d’être impliqué dans la campagne intensive de vaccination au Benin.

Entre autre, elle affirme que les jeunes :

  • doivent collaborer avec les pouvoirs publics et d’autres partenaires pour stopper la propagation du virus,
  • protéger un maximum de personnes et prendre des mesures qui renforceront la lutte contre la pandémie
  • montrer qu’en plus de symboliser l’espoir, elle est capable d’aider la collectivité en toutes circonstances et particulièrement face à une crise d’une telle ampleur
  • à travers des actes individuels et collectifs, les jeunes font tous ce qu’ils peuvent pour combattre la pandémie et le sentiment d’impuissance qui nous envahit tous
  • mobiliser les habitants pour mieux les protéger et soutient les pouvoirs publics et le personnel de santé.

Cette rencontre a été une opportunité pour ces jeunes de découvrir comment est-ce qu’ils peuvent contribuer à cette campagne pour accompagner le gouvernement béninois dans l’atteinte du taux couverture vaccinale pour une immunité collective.

On peut dire enfin qu’à l’issu de cette communication, les jeunes ont vraiment pris connaissance de leurs rôles et s’engagent à contribuer corps à âme à cette noble cause pour laquelle ils sont assignés jusqu’à ce que la victoire soit remportée sur ce mal.

Le 11 Mars 2020 la COVID-19, déclarée pandémie par l’OMS, demande des mesures de protection essentielles pour prévenir la saturation des services de soins intensifs et pour renforcer l’hygiène préventive. 

La propagation de la COVID-19 observée dans le monde dès le début 2020 a été accompagnée d’une vague de désinformation qui constitue un problème difficile à gérer. 

C’est dans ce cadre qu’il a été q’une communication sur la gestion des rumeurs a été donne aux jeunes ayant participe à un atelier de co-création.

Etant donné que les jeunes constituent la couche la plus en contact facilement avec le monde et ont accès rapidement aux  informations (bonnes ou mauvaises), cette communication vient à point nommé pour ces participants satisfaits de l’initiative.

Ils sont plus de 25 à prendre part à cette assise instructive, le 17 mars 2022, á l’Espace O de fidrossè non loin du calvaire.

Il ressort de cette communication donnée par Madame Awanabi Idrissou, qu’il y’a plusieurs raisons pour lesquelles les rumeurs se produisent. Parmi celles-ci, on peut citer, entre autres :

  • le manque d’informations crédibles
  • la rétention d’informations
  • l’insuffisance d’accès à l’information
  • les mauvaises interprétations des messages
  • la surabondance d’informations
  • les fausses déclarations (informations et photos obsolètes)
  • la méfiance ou la peur (panique)
  • la divergence de points de vue entre experts
  • le climat politique
  • etc.

La survenue de rumeurs peut aussi être liée à l’expérience passée ou aux croyances culturelles et religieuses, aux représentations sociales de la maladie.

Conditions favorables à la propagation d’une rumeur

  • Mauvaise gestion de l’information : S’il n’y a pas d’harmonisation dans le partage de l’information vraie et adaptée, les rumeurs augmentent
  • Manque de transparence : Si les explications ne sont pas données, le public commence à inventer, généralement en supposant le pire
  • Manque de crédibilité des médias : La communauté ne fait pas confiance à l’information donnée par les canaux officiels et cherche d’autres sources d’information
  • Fortes émotions : La rumeur exprime les humeurs, les frustrations, les préoccupations et les besoins affectifs de la communauté

Comment gérer les rumeurs ?

Les rumeurs se propagent, en l’absence d’informations crédibles et régulières, à travers différents canaux de communication (d’une personne à une autre : de bouche à oreille, via les médias, internet, blogs, réseaux sociaux, SMS, etc.). Dans certaines situations (Ex : sociétés à la stabilité fragile), les rumeurs peuvent être extrêmement dangereuses.

Elles peuvent inciter un groupe à agir violemment, inutilement, ce qui élimine le climat de confiance. C’est pourquoi, il est important, pour les intervenants, de donner aux communautés des informations précises, de manière rapide et complète. Ainsi, pour assurer une bonne gestion des rumeurs, il est nécessaire de mettre en place un comité de gestion des rumeurs qui se chargera de :

1. Surveiller/Ecouter

2. Vérifier

3. Analyser

4. Agir.

Surveillance/Écoute

Les intervenants devront surveiller quotidiennement les différents canaux de communication. Identifier les rumeurs n’est pas aussi simple que de poser des questions aux gens sur les rumeurs qu’ils ont entendues.

Cela ne révèlera pas nécessairement les rumeurs, parce que les individus peuvent, par exemple, croire qu’une information est vraie et donc ne pas la considérer comme une rumeur ; ou bien, ils peuvent ne pas vous faire suffisamment confiance pour en discuter avec vous. L’un des facteurs les plus importants dans la façon d’écouter est la compréhension de la langue. De manière succincte, l’intervenant devra :

  • tirer parti des relations de confiance existantes, pour écouter ;
  • écouter dans la langue avec laquelle la communauté se sent le plus à l’aise ;
  • avoir des conversations ouvertes et non structurées avec la communauté. L’écoute est bien plus que le simple réflexe d’entendre, puisqu’elle implique la compréhension des individus que vous écoutez, les problèmes auxquels ils font face et leurs préoccupations.

Verification

La vérification consiste à découvrir les faits qui sous-tendent une rumeur. Pour ce faire, les intervenants devront : –

  • identifier où et avec qui vérifier les faits ;
  • trianguler ces faits, en vérifiant auprès de plusieurs sources, en s’assurant qu’elles sont fiables et indépendantes les unes des autres ;
  • comprendre les problèmes et les préoccupations mises en lumière par la rumeur et les raisons pour lesquelles celles-ci existent, afin d’éclairer, plus tard, la façon dont les intervenants devront élaborer leur stratégie d’engagement communautaire, pour répondre à la rumeur.

Analyse

Dans l’analyse, les intervenants devront répondre aux questions ci-après : La rumeur…

  • a-t-elle une propagation rapide ?
  • a-t-elle une diffusion intense ?
  • est-elle fortement crue ?
  • est-elle perçue comme un risque pour la population ?
  • est-elle nocive pour la population affectée ?

Action

Afin d’utiliser des informations vérifiées, à propos d’une rumeur, en vue d’engager une communauté, les acteurs devront :

  • élaborer et exécuter un plan d’action, en impliquant toutes les parties prenantes ;
  • définir le public cible ;
  • développer et tester un nouveau message convaincant, pour remplacer la rumeur ;
  • livrer de nouveaux messages, avec un langage adapté et des canaux/influenceurs de confiance
  • surveiller si le nouveau message est entendu, compris, cru et appliqué.

Toutes ces techniques et astuces, constituent désormais un arsenal puissant dans la gestion des rumeurs pour les participants qui pensent l’utiliser comme la clé qui ouvre la porte de la confiance de la population béninoise aux vaccins contre la COVID-19.

Cette séance a été une occasion de partages de connaissances pour les jeunes satisfaits et plus que jamais engagés dans la lutte contre la désinformation et les rumeurs liés aux vaccins contre la COVID-19 au Bénin.

Le vaccin contre la COVID‑19 donne une grande protection contre les hospitalisations et les décès. Chaque personne qui décide de se faire vacciner, se protège lui-même et protège en retour les autres. Des données de l’OMS prouvent qu’en étant vacciné, l’on a moins de risque de transmettre le virus à son entourage.

Par conséquent, une fois vaccinée nous devrions continuer à observer les règles barrières, en se tenant à au moins un mètre de distance des autres, en portant un masque bien ajusté couvrant le nez et la bouche si vous ne pouvez pas respecter cette distance, en évitant les endroits et les lieux mal ventilés, en se lavant souvent les mains.

Quelles sont les personnes plus exposées à la COVID-19

Les personnes à risque, c’est-à-dire, les personnes plus exposées à la maladie sont en matière d’approvisionnement en vaccin limité, les premiers à être servir. Il s’agit notamment des personnes âgées, celles déjà atteintes de pathologies et des personnes les plus susceptibles d’être exposées au virus (comme le personnel de santé).

Les femmes enceintes ont plus de risque de développer une forme grave de la maladie et d’accoucher prématurément si elles sont contaminées par la COVID‑19 ; aussi l’OMS recommande qu’elles soient prioritaires. 

Les vaccins contre la COVID‑19 homologués par l’OMS sont sans risque pour les personnes âgées de 18 ans et plus, y compris pour celles souffrant de pathologies préexistantes de toutes sortes comme (l’hypertension, le diabète, l’asthme, les maladies pulmonaires, hépatiques ou rénales ainsi que des infections chroniques stabilisées et maîtrisées).

Avec l’avancé de la science, les enfants dès l’âge de 12 ans peuvent se faire vacciner. Des essais sont en cours pour l’utilisation d’autres vaccins contre la COVID-19, chez les enfants et les adolescents de moins de 12ans.

Un centre d’appel et de prise en charge a été mis en place pour vous informer sur la COVID-19 depuis le mois de mars 2020 pour traiter au plan national, l’ensemble des requêtes liées à la gestion de la pandémie et ceci 7jour /7 et 24h sur 24 aussi bien en Français que dans plusieurs langues nationales.

Dès que vous ressentez la fièvre, la toux, le rhume, les maux de tête, la perte du gout ou de l’odorat, la diarrhée, les difficultés respiratoires, la conjonctivite, . n’attendez plus un seul instant! 

Alertez le centre d’appel covid-19 au Bénin en appelant le numéro gratuit 136.

Des spécialistes évalueront votre requête et vous orienteront soit pour la bonne conduite à tenir ou un dépistage gratuit.

N’attendez pas qu’il soit trop tard.

Les sites dédiés pour la vaccination contre la COVID-19 sont :

DANS LE DÉPARTEMENT DE L’ATLANTIQUE :

Zone sanitaire Allada Zè Toffo

Commune d’Allada

–      Centre de Santé Agbanou

–      Centre de Santé Lon-Agomey

–      Centre de Santé Allada

–      Centre de Santé Agbanou

–      Centre de Santé Sékou

Commune de Zè

–      Centre de Santé Adjan

–      Centre de Santé Tangbo Djèvié

–      Centre de Santé Zè

Commune de Toffo

–      Centre de Santé Aguè

–      Centre de Santé Toffo

Zone sanitaire Abomey Calavi Sô-Ava

Commune d’Abomey-Calavi

–      Centre Hospitalier Universitaire de Zone Abomey Calavi So-Ava

–      Centre de Santé Hêvié

–      Centre de Santé Kpanroun

–      Centre de Santé Togba

–      Centre de Santé Abomey-Calavi 1

–      Centre de Santé Abomey-Calavi 2

–      Centre de Santé Abomey-Calavi 3

–      Centre de Santé Abomey-Calavi 4

–      Centre de Santé Akassato

–      Centre de Santé Ouédo

–      Centre de Santé Cocokodji

–      Centre de Santé Dèkoungbé

–      Centre de Santé Godomey centre 1

–      Centre de Santé Godomey centre 2

–      Centre de Santé Godomey centre 3

–      Centre de Santé Godomey centre 4

–      Centre de Santé Womey

Commune de Sô-Ava

–      Centre de Santé Ahomey-Lokpo

–      Centre de Santé So-Ava

–      Centre de Santé Vekky

Zone Sanitaire Ouidah Kpomassè Tori-Bossito

Commune de Ouidah

–      Centre de Santé Djègbadji

–      Centre de Santé Ouidah I

–      Centre de Santé Pahou

–      Centre de Santé Ouidah III

–      Centre de Santé Avlékété

Commune de Kpomassè

–      Centre de Santé Kpomasse

–      Centre de Santé Aganmalome

Commune de Tori-Bossito

–      Centre de Santé Tori-Bossito

–      Centre de Santé Azohouè-Cada

DANS LE DÉPARTEMENT DU LITTORAL :

–      Direction départementale de la santé du Littoral

–      CNHU

–      CHU MEL

Zone sanitaire Cotonou 1-4

–      Centre de Santé Placodji

–      Centre de Santé Ahouanssori

–      Centre de Santé Cotonou 1

Zone sanitaire Cotonou 2 -3

–      Centre de Santé Avotrou

–      Hôpital Suru-Léré

–      Centre de Santé Ayélawadjè

Zone sanitaire Cotonou 5

–      Centre de Santé Saint Michel

–      Centre de Santé Zogbo

–      Centre de Santé Sètovi

–      Hôpital de Ménontin

Zone sanitaire Cotonou 6

–      Centre de Santé Akogbato

–      Centre de Santé Gbégamey

–      Centre de Santé Houénousssou

–      Centre de Santé Agongbomey

–      Centre de Santé Djomehountin

DANS LE DÉPARTEMENT DE L’OUÉMÉ :

Zone sanitaire Avrankou Adjarra Akpro-Missérété

Commune d’Avrankou

–      Centre de Santé Atchoukpa

–      Centre de Santé Avrankou

–      Centre de Santé Djomon

Commune d’Adjarra

–      Centre de Santé Adjarra

–      Centre de Santé Médédjonou

Commune d’Akpro-Missérété

–      Centre de Santé Akpro-Missérété

–      Centre de Santé Gomé-Sota

Zone sanitaire Porto-Novo Aguégués Sèmè-Podji

Commune de Porto-Novo

–      Centre de Santé Oganla

–      Centre de Santé Zèbou

–      Centre de Santé Ouando

–      Centre de Santé Dowa

–      Centre de Santé Houinmé

–      Centre de Santé Djègan-kpèvi

–      Centre de Santé Houssouko

–      Centre de Santé Tokpota

Commune des Aguégués

–      Centre de Santé Houédomé

Commune de Sèmè-Podji

–      Centre de Santé Sèmé-KPodji

–      Centre de Santé Kraké

–      Centre de Santé Agblangandan

–      Centre de Santé Ekpè

–      Centre de Santé Djèffa

Zone sanitaire Adjohoun Bonou Dangbo

Commune d’Adjohoun

–      Hôpital de Zone Adjohoun

–      Centre de Santé Awonou

Commune de Bonou

–      Centre de Santé Bonou

–      Centre de Santé Atchonsa

Commune de Dangbo

–      Centre de Santé Dangbo

–      Centre de Santé Késsounou

DANS LE DÉPARTEMENT DU BORGOU :

Zone sanitaire Parakou N’Dali

Commune de Parakou

–      Centre Hospitalier Départemental Universitaire du Borgou

–      Centre de Santé de la Commune de Parakou

–      Centre de Santé Madina

–      Hôpital d’Instruction des Armées

Commune de N’Dali

–      Hôpital de Zone de Boko

–      Centre de Santé de N’dali

–      Centre de Santé de Gbegourou

Zone sanitaire de Tchaourou

–      Centre de santé Tchaourou

–      Centre de santé Tchatchou

–      Centre de santé Kika

–      Centre de santé Bétérou

–      Centre de santé Tchatchou

Zone sanitaire Bembèrèkè Sinendé

Commune de Bembèrèkè

–      Centre de santé Bembéréké

–      Centre de santé Ina

–      Centre de santé Bouanri

–      Centre de santé Gamia

–      Centre de santé Beroubouay

Commune de Sinendé

–      Centre de santé de Sinendé

–      Centre de santé de Sékéré

–      Centre de santé de Sikki

–      Centre de santé de Yarra

Zone sanitaire Nikki Kalalé Pèrèrè

Commune de Nikki

–      Centre de santé Nikki

–      Centre de santé Biro

Commune de Kalalé

–      Centre de santé Kalalé

–      Centre de santé Derassi

Commune de Pèrèrè

–      Centre de santé Péréré

DANS LE DÉPARTEMENT DES COLLINES :

–      Hôpital de Zone Dassa

DANS LE DÉPARTEMENT DU COUFFO :

–      Hôpital de Zone Aplahoué          

DANS LE DÉPARTEMENT DE LA DONGA :

–      Hôpital de Zone Djougou

DANS LE DÉPARTEMENT DE L’ALIBORI :

–      Hôpital de Zone Kandi

DANS LE DÉPARTEMENT DE L’ATACORA :

–      Centre Hospitalier Départemental Natitingou

DANS LE DEPARTEMENT DU MONO :              

–      Centre Hospitalier Départemental Lokossa

DANS LE DEPARTEMENT DU ZOU

–      Centre Hospitalier Départemental Abomey

                   Le Ministre de la santé rassure l’ensemble de la population que la vaccination couvrira progressivement l’ensemble du territoire et toute la population résidente éligible au Bénin. Le vaccin contre la COVID-19 est efficace, sûr, volontaire et  gratuit.

Faites-vous vacciner pour vous protéger et protéger les autres.

Pour plus de renseignement veuillez appeler le numéro gratuit 136.